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• Professeure titulaire d’une Chaire James À¦°óSMÉçÇø, Département d’oncologie Gerald Bronfman, Département d’épidémiologie, de biostatistiques et de santé au travail; Membre associée, Département de génétique humaine, Faculté de médecine et des sciences de la santé, Université À¦°óSMÉçÇø
• Chercheuse principale, Centre d’épidémiologie clinique, Institut Lady Davis de recherches médicales à l’Hôpital général juif
• Directrice du programme d’études supérieures, Programme de doctorat enÌýSciences quantitatives du vivant, Études inter-faculté, Sciences quantitatives du vivant
• Chercheur principal, Centre Ludmer en neuroinformatique et santé mentale.

Celia Greenwood, Ph. D., est professeure et statisticienne en sciences quantitatives du vivant. Elle fait partie d’un nouveau groupe de scientifiques à l’expertise multidisciplinaire qui font avancer l’application des méthodes mathématiques, des méthodes computationnelles et d’autres méthodes quantitatives dans l’étude des systèmes biologiques, de l’échelle unicellulaire à l’influence de l’environnement sur le génome (épigénétique). Ses travaux de recherche ont grandement contribué à la génétique statistique, à la génomique, à l’épigénétique et à l’épidémiologie génétique, ainsi qu’à notre compréhension des cancers, des troubles de la santé mentale et des troubles cérébraux.

La P^re Greenwood conçoit des méthodes et des algorithmes complexes qui aident les équipes de recherche à intégrer et à manipuler différents jeux de données. Ces outils permettent d’effectuer rapidement des analyses complexes et hautement spécifiques, qui demandent souvent des années à maîtriser, dans des logiciels qui améliorent la précision statistique des résultats de recherche dans plusieurs domaines.

Elle a été élue au conseil d’administration de la Société statistique du Canada et de l’International Genetic Epidemiology Society (), dont elle a été présidente en 2019.

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