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L’UniversitĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř est au cĹ“ur d’un pivot de recherche en neurosciences fondamentale et clinique.Ěý Notre mission vise Ă  Ă©laborer une stratĂ©gie d’intĂ©gration qui accroĂ®tra notre succès dans le domaine de la recherche en neurosciences et appuiera la position de Ŕ¦°óSMÉçÇř comme chef de file aux niveaux national et international.

Nos institutions, départments, centres et programmes

Centre Alan Edwards de recherche sur la douleur


Le Centre Alan Edwards de recherche sur la douleur est un chef de file mondial en recherche portant sur la façon dont le cerveau traite l’information reliée à la sensation et la perception de la douleur.

Le Centre regroupe 39 chercheurs et 100 stagiaires des FacultĂ©s de mĂ©decine, de mĂ©decine dentaire et des sciences. Il vise principalement Ă  regrouper les membres de la collectivitĂ© de Ŕ¦°óSMÉçÇř composĂ©e de chercheurs vouĂ©s Ă  comprendre les aspects fondamentaux et cliniques de la douleur pour promouvoir de nouvelles approches pour prĂ©venir et traiter la douleur chronique. Ces efforts sont jumelĂ©s Ă  ceux d’autres chercheurs grâce Ă  de nombreuses collaborations internationales.

Visionnez cette vidĂ©o sur le Centre de recherche sur la douleur .Ěý

Centre de recherche en neurosciences

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Le Centre de recherche en neurosciences (CRN) est situé à l’Institut de recherche de l’Hôpital général de Montréal.

Par le passé, le CRN concentrait ses efforts sur la compréhension des mécanismes cellulaires et moléculaires de la régénération neurale dans le but de limiter les effets des traumatismes sur le système nerveux central.

Le pivot intellectuel de ce travail provient des Ă©tudes maintenant bien connues des membres de l’équipe du CRN, dont Aguayo, Richardson, David, Bray et Rasminsky, qui ont dĂ©montrĂ© que les neurones du système nerveux central Ă©taient en mesure de rĂ©gĂ©nĂ©rer des axones Ă  l’intĂ©rieur des greffes nerveuses pĂ©riphĂ©riques sur de longues distances.Ěý

La dĂ©couverte que les neurones du système nerveux central sont capables de se rĂ©gĂ©nĂ©rer a lancĂ© Ă  l’échelle internationale des travaux pour tenter d’identifier les facteurs qui stimuleraient la rĂ©gĂ©nĂ©ration dans le système nerveux central.Ěý

Centre de recherche sur le langage, l’esprit et le cerveau


Le langage est indéniablement l’habileté la plus avancée et la plus complexe chez l’être humain, une faculté qui le distingue de toutes les autres espèces animales. Pour vraiment comprendre cette aptitude unique à l’humain, la recherche interdisciplinaire est cruciale.

Le Centre de recherche sur le langage, l’esprit et le cerveau (CRBLM) rĂ©unit un groupe exceptionnel de chercheurs et de scientifiques d’une variĂ©tĂ© de disciplines, de FacultĂ©s et de dĂ©partements de l’UniversitĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř, de l’UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  MontrĂ©al, de l’UniversitĂ© de MontrĂ©al et de l’UniversitĂ© Concordia dont les travaux de recherche portent sur les fondements neurobiologiques et sociaux du langage.

La recherche effectuée au CRBLM vise à toucher tous les  aspects du langage et du traitement du langage.  De l’étude des principes des blocs de construction de l’articulation du discours à la cartographie des structures neurales nécessaires à la compréhension des phrases complexes, de la compréhension de la façon dont les nouveau-nés et les jeunes enfants apprennent le langage à la façon dont le langage est traité dans le mode visuel, les travaux de recherche du Centre sont axés sur  l'élaboration d'une théorie fondamentale ainsi que sur les applications cliniques et éducationnelles.

Centre universitaire de santĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř (CUSM)

Le CUSM comprend six Ă©tablissements de santĂ© reliĂ©s Ă  l’UniversitĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř : L’HĂ´pital de MontrĂ©al pour enfants, l’HĂ´pital gĂ©nĂ©ral de MontrĂ©al, l’HĂ´pital Royal Victoria, l’Institut et hĂ´pital neurologiques de MontrĂ©al – Le Neuro, l’Institut thoracique de MontrĂ©al, et l’HĂ´pital de Lachine.

La recherche est l’une des trois missions fondamentales du CUSM – en plus des soins cliniques et de l’enseignement. L’Institut de recherche du CUSM compte plus de 500 chercheurs, 1 000 étudiants aux études supérieures et postdoctorants. L’Institut exploite plus de 300 laboratoires de recherche consacrés à un large éventail de domaines de recherche, fondamentale et clinique, et produit plus de 1 400 publications par année.  

Les neurosciences sont au nombre des 11 programmes de recherche, et le principal objectif est  de promouvoir la mise au point d’approches thĂ©rapeutiques des maladies neurologiques.Ěý

Des programmes de recherche translationnelle, notamment d’essais cliniques, sont menés sur une gamme de troubles neurologiques dont la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique, les maladies vasculaires cérébrales, l’épilepsie, la migraine, les anévrismes cérébraux et les tumeurs cérébrales.

Le CUSM travaille prĂ©sentement Ă  un projet de redĂ©ploiement de 2,25 milliards de dollars rĂ©parti sur trois campus — de la Montagne, Glen et Lachine — conçu pour offrir aux professionnels de la santĂ© un milieu efficace oĂą l’on s’assurera que les patients et leur famille bĂ©nĂ©ficient de la levĂ©e de fonds « Les meilleurs soins pour la vie ».Ěý

Poursuivez la lecture sur la recherche en neurosciences au CUSM .Ěý

DĂ©partement de neurologie et de neurochirurgie de l’UniversitĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř 


Quatre unitĂ©s cliniques sont affiliĂ©es au dĂ©partement de neurologie et de neurochirurgie de l’UniversitĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř.Ěý

Elles sont situĂ©es Ă  l’Institut et HĂ´pital neurologiques de MontrĂ©al – Le Neuro, l’HĂ´pital gĂ©nĂ©ral de MontrĂ©al,  l’HĂ´pital gĂ©nĂ©ral juif et l’HĂ´pital de MontrĂ©al pour enfants.Ěý

Chacune d’elles tient lieu de division distincte en neurologie et neurochirurgie.

Les programmes de rĂ©sidence en neurologie et neurochirurgie visent particulièrement Ă  former des neurologues et neurochirurgiens cliniques, ainsi que des cliniciens-chercheurs universitaires. Ces programmes sont conçus pour rĂ©pondre aux exigences en matière de neurologie adulte, neurologie pĂ©diatrique, et neurochirurgie ; les rĂ©sidents font un stage dans chaque hĂ´pital au cours de leur formation.Ěý

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Les stages à options en neurochirurgie adulte se font exclusivement au Neuro. La neurochirurgie pédiatrique, y compris la neurotraumatologie pédiatrique, est exercée à l’Hôpital de Montréal pour enfants. On pratique également la neurotraumatologie à l’Hôpital général de Montréal.

Neurologie adulte  

D’une durée totale de 5 ans, le programme de formation en neurologie adulte comprend 1 année de médecine interne et 4 années de neurologie. La formation de base renferme un total de 2 années de stages cliniques dans les unitésd’enseignement des hôpitaux affiliés.

Neurologie pédiatrique

D’une durée de 5 ans, le programme de formation en neurologie pédiatrique comprend 1 année de pédiatrie et 4 années de neurologie. Le contenu du volet neurologie est semblable à celui de la neurologie adulte, mais la principale différence étant que la plupart des expositions en neurologie clinique se passent à l’Hôpital de Montréal pour enfants.

Les programmes de rĂ©sidence en neurologie et en neurochirurgie de l’UniversitĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř ont pour but prĂ©cis de former des neurologues et des neurochirurgiens cliniciens, ainsi que des mĂ©decins cliniciens universitaires.  Pour plus de renseignements : (en anglais)

DĂ©partement de pharmacologie et de thĂ©rapeutique de l’UniversitĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř

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Dans ce dĂ©partement, la recherche englobe une grande variĂ©tĂ© de secteurs, le principal Ă©tant la neuropharmacologie.  Cette discipline comprend l’étude et le traitement des maladies dĂ©bilitantes du système nerveux, comme les maladies d’Alzheimer et de Parkinson, l’épilepsie, la sclĂ©rose en plaques, la dĂ©pression mentale et la toxicomanie.Ěý

Les travaux de recherche dans ce domaine sont par définition multidisciplinaires de nature. Ils abordent les mécanismes fondamentaux sous-jacents aux médicaments dans le système nerveux, et la connaissance déjà acquise par l’entremise des travaux de recherche de bon nombre de nos membres du personnel devrait conduire à la découverte de nouveaux traitements.

L’une des forces du programme de formation du département est l’exposition à une profusion d’occasions et d’échanges de collaboration parmi les divers laboratoires qu’il crée.

Les  installations de recherche sont situées au pavillon McIntyre des sciences médicales ; un certain nombre de laboratoires est situé au CUSM, dans d’autres instituts et dans l’industrie dans la région de Montréal.

DĂ©partement de physiologie de l’UniversitĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř

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Les neurosciences comptent parmi les 10 thèmes de recherche au département de physiologie, et ce, à divers niveaux ayant recours aux approches expérimentales à la fine pointe technologique. Les principaux thèmes portent sur la compréhension des molécules impliquées dans le développement et le fonctionnement du cerveau, la fonction cellulaire des neurones et des synapses, et des systèmes  à la base de la perception et de l’automatisme.

Le but ultime consiste à combiner la recherche fondamentale en sciences aux recherches cliniques pour révéler les fondements biologiques de l’esprit humain et pour traiter les maladies qui touchent notre santé mentale.

Les méthodes de recherche couvrent divers secteurs des neurosciences de la vision, y compris la psychophysique (perception visuelle humaine), la neurophysiologie animale et l’imagerie optique, les méthodes informatiques, l’imagerie cérébrale par résonance magnétique fonctionnelle, le stimulateur magnétique transcrânien, et les psychophysiques cliniques.

Institut et Hôpital neurologiques de Montréal – Le Neuro

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L’Institut et Hôpital neurologiques de Montréal, le Neuro, est un centre universitaire de classe mondiale qui allie un centre de recherche de renommée internationale, voué au dévoilement des secrets du cerveau et des maladies neurologiques, accompagné des services hospitaliers hautement spécialisés qui assurent les meilleurs soins aux patients atteints de maladies neurologiques. Cette structure unique est devenue un modèle pour des institutions de partout dans le monde.

Plus de 90 chercheurs et médecins du Neuro forment des équipes multidisciplinaires engagées dans le vaste éventail de la recherche en neurosciences contemporaine et mettent ces connaissances en application pour comprendre et traiter les maladies neurologiques. En 2007, le gouvernement du Canada a fait du Neuro l’un des sept Centres d’excellence en commercialisation et en recherche en reconnaissance de son travail novateur et exceptionnel.

Le Neuro est un milieu idĂ©al pour la recherche translationnelle qui est synonyme de l’application de dĂ©couvertes de la recherche en sciences fondamentales en vue d’amĂ©liorer les soins prodiguĂ©s aux patients souffrant  de maladies neurologiques. L’étroite interaction entre les cliniciens-chercheurs et les spĂ©cialistes des sciences fondamentales profite grandement aux patients souffrant de sclĂ©rose en plaques, sclĂ©rose latĂ©rale amyotrophique, tumeur au cerveau, Ă©pilepsie, migraine, de douleur chronique, maladie de Parkinson ou d’autres affections. Les patients bĂ©nĂ©ficient aussi des avancĂ©es techniques en imagerie cĂ©rĂ©brale, en neuroradiologie, en neuronavigation et en neurostimulation.Ěý

Institut Lady Davis de recherches médicales de l’Hôpital général juif


Situé à l’Hôpital général juif, l’Institut Lady Davis est un important centre de recherche biomédicale où l’on effectue des recherches multidisciplinaires fondamentales et cliniques.

Le vieillissement compte parmi les six grands axes de recherche et est concentrĂ© au Centre Bloomfield de recherche sur le vieillissement (BCRA).Ěý

Unique au Canada, le Centre Bloomfield de recherche sur le vieillissement se spécialise dans le vieillissement et les maladies neurodégénératives en recourant à diverses spécialités, notamment aux études moléculaires du vieillissement pathologique, aux études cliniques et d’imagerie de la maladie d’Alzheimer, aux études de population et à l’évaluation des systèmes de prestation de soins aux personnes âgées.

Les neurosciences cognitives et la maladie d’Alzheimer constituent l’un des principaux thèmes de recherche de l’axe du vieillissement.  Les études portent notamment sur la recherche fondamentale sur les facteurs liés à la mémoire et à la perte de mémoire en cas de démence; les diagnostics précoces et les nouveaux traitements de la démence ; les essais cliniques pour la maladie d’Alzheimer;  les ressources disponibles dans le réseau de santé pour les aînés atteints de démence ; et la compréhension de la perte d’autonomie chez les aînés.

Aujourd’hui, l’Institut Lady Davis regroupe plus de 91 chercheurs titulaires d’un poste universitaire Ă  l’UniversitĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř, 142 Ă©tudiants Ă  la maĂ®trise ès sciences et au doctorat, 50 boursiers postdoctoraux et 248 techniciens, employĂ©s administratifs et de soutien rĂ©partis sur un emplacement de recherche de 11 600 m2.

Institut universitaire en santé mentale Douglas – Le Douglas


Le Douglas partage avec l’Institut et l’hôpital neurologiques de Montréal (Le Neuro) une structure qui allie la recherche en laboratoire à la fine pointe en santé mentale à l’expérience clinique. Plus de  60 chercheurs, dont certains sont reconnus à l’échelle internationale, concentrent leurs efforts sur quatre thèmes : vieillissement et maladie d’Alzheimer; troubles de l’humeur, d’anxiété et d’impulsivité; schizophrénie et troubles du développement cérébral; services, politiques et santé des populations.

Le Douglas se dĂ©marque par ses projets de recherche novateurs en neurosciences, en expĂ©rience clinique et en dimensions psychosociales.  Le Centre de recherche de l’Institut Douglas rĂ©unit plus de 300 Ă©minents chercheurs et boursiers de recherches postdoctorales de partout dans le monde, qui signent quelque 215 articles scientifiques chaque annĂ©e.Ěý

Laboratoire de neurosciences cognitives pour l'étude du langage et de la mémoire


Les chercheurs de ce laboratoire du département de psychologie étudient comment le cerveau utilise l’information contextuelle pendant le processus de compréhension et de production du langage.

Les chercheurs examinent également les fondements neurocognitifs de la mémoire relationnelle humaine. Ils effectuent des expériences comportementales, de neuro-imagerie et d’oculométrie qui abordent des questions comme :

  • Comment les unilingues et les bilingues rĂ©solvent l’ambiguĂŻtĂ© linguistique des divers niveaux de langue (par ex. mots, locutions, phrases) ? 
  • Comment les gens coordonnent-ils les exigences de la comprĂ©hension et de la production du langage pendant les conversations ? 
  • Comment ces phĂ©nomènes se manifestent-ils dans un cerveau humain sain, et dans des  conditions neuropsychologiques, comme la schizophrĂ©nie ? 

Le laboratoire est Ă©galement pourvu d’une salle d’examen du comportement, ainsi qu’une salle d’examen consacrĂ©e aux Ă©tudes sur l’électroencĂ©phalographie (EEG) et les potentiels reliĂ©s aux Ă©vènements  (ERP). L’équipe a Ă©galement accès aux installations et au matĂ©riel fournis par le Centre de recherche sur le langage, l’esprit et le cerveau et le Neuro.Ěý

Programme intégré de neurosciences

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Le programme intĂ©grĂ© de neurosciences (PIN) est le programme d’études supĂ©rieures en neurosciences regroupant toutes les unitĂ©s dans ce domaine d’étude sur le campus de l’UniversitĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř.

MontrĂ©al accueille la plus grande concentration de neuroscientifiques en AmĂ©rique du Nord. La recherche en neurosciences Ă  l’UniversitĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř est reconnue Ă  l’échelle internationale, et le Programme intĂ©grĂ© de neurosciences (PIN) offre une formation post-graduĂ©e en neurosciences tout Ă  fait exceptionnelle.

Le programme comprend plus de 170 membres du corps professoral et 280 étudiants à la maîtrise ou au doctorat, qui œuvrent dans des domaines qui couvrent toute la gamme des recherches en neurosciences, allant des aspects cellulaires et moléculaires aux neurosciences cognitives.  Il s’agit du plus important programme d’études supérieures de la Faculté de médecine et l’un des plus importants programmes d’études supérieures en neurosciences en Amérique du Nord.

Si vous songez Ă  faire une maĂ®trise ou un doctorat en neurosciences Ă  l’UniversitĂ© Ŕ¦°óSMÉçÇř, poursuivez la lecture sur le PIN ici.

UnitĂ© de recherche sur la vision de Ŕ¦°óSMÉçÇř

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L’UnitĂ© de recherche sur la vision de Ŕ¦°óSMÉçÇř est multidisciplinaire et tous y ont pour objectif de comprendre les fonctions cĂ©rĂ©brales gĂ©nĂ©rales et les processus visuels en particulier.

L’expertise issue du regroupement de six membres du corps professoral, chacun ayant un laboratoire soutenu de façon autonome situé dans un centre de recherche, contribue à faire de cette unité ayant une tradition de recherches concertées un chef de file dans le domaine des neurosciences visuelles.

Les principaux secteurs de recherche portent sur la façon dont le cerveau de l’adulte perçoit le mouvement, la forme, la profondeur et la couleur de la scène visuelle.

Les secteurs cliniques de recherche incluent l’amblyopie (œil paresseux), par l’entremise de laquelle nous aspirons à comprendre l’importance de la vision dès l’enfance pour développer une vision normale, et les conséquences d’une vision perturbée à l’enfance qui, souvent, mène à une faible vision à l’âge adulte, ou à l’amblyopie.

L’unitĂ© de recherche sur la vision de Ŕ¦°óSMÉçÇř entretient d’étroites collaborations avec les dĂ©partements de neurologie et de neurochirurgie, de psychologie, d’ingĂ©nierie biomĂ©dicale et de physiologie, ainsi qu'avec le Neuro.Ěý

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