Zhu (Joe) Liu (MEng’01) and Liying Jiang (MEng’03) met at Ŕ¦°óSMÉçÇř while studying for their master’s degrees in civil engineering. Now they’re giving back to their alma mater by focusing on young women setting out to earn an engineering degree.
Liu specializes in pre-stressed and precast concrete, and now works as a Senior Project Manager at Jacobs Engineering Group. Jiang’s specialty is repairing existing buildings, considering a building’s forensics, and retrofitting them when their original structure has deteriorated. Currently, she is an engineering manager at Structural Technologies.
“We tell friends that you contact me to design a building,” Liu jokes, “and Liying if something goes wrong.”
The Boston-based couple have fond memories of Montreal and their time at Ŕ¦°óSMÉçÇř and wanted to contribute to the Faculty of Engineering’s tradition of excellence, while also opening the door to more women in the field.
Together, they have set up the Zhu Liu and Liying Jiang Third Century Entrance Bursary for young women studying Engineering at Ŕ¦°óSMÉçÇř.
Liu studied for his undergraduate degree in Chengdu, China, more than 1848 km away from where he grew up in the northern part of China, so attending Ŕ¦°óSMÉçÇř was not his first time far from familiar surroundings. “While I was studying for my master’s at Ŕ¦°óSMÉçÇř, I worked as a Research Assistant, but it didn’t pay much, especially when you’re supporting yourself without knowing anything or anybody.”
Liu was able to borrow money from family to pay tuition fees for his first term, but he points out that not everyone has family to help. “We wanted to remove this barrier for those who are eager to learn but don’t have the necessary financial support.”
Jiang studied for her undergraduate degree in Shanghai, where she grew up. “We also want to support more women who choose a profession like engineering,” she says. “The field is traditionally male-dominated, but it is a high-paying one. There should be more women in engineering – and more women in management, too.”
Liu liked that the students he met came from diverse backgrounds, and he appreciates that Ŕ¦°óSMÉçÇř still puts an emphasis on attracting students from all over the world. “The diversity of the city and the school gave me a comfortable feeling from the beginning and throughout the time I stayed,” he says. The appreciation of talents from different backgrounds eased his concerns about his future as a newcomer.
Liu also appreciates Ŕ¦°óSMÉçÇř’s high standards and is convinced to this day that the Ŕ¦°óSMÉçÇř name and the University’s reputation carry a lot of weight. “Liying was recruited as soon as she graduated,” he says. “I remember. She was hired after her very first interview.” Liu was also hired the year he graduated.
This is not the first time Liu has reached out to help those he could. After he completed his first year at Ŕ¦°óSMÉçÇř, he volunteered as a Buddy for the Student Services office, helping international students find places to live, and taking them on tours of the campus and the city to help them orient themselves. He calls this “paying it forward,” thanks to another International Buddy who helped him settle in when he first arrived.
“Believe it or not, volunteering didn’t only help the new students, it also helped me get to know more of Montreal. It’s one of my favourite cities, ranking right up there with Boston and San Francisco.”
Today, Liu is an avid cyclist. “Both Montreal and Boston are beautiful cities to ride in,” he says. He rides with a group of cyclists who live near the couple’s home in suburban Lexington. Jiang is a runner. Both are very happy with their life and careers in Boston. Now they want to help the next generation of women engineers at Ŕ¦°óSMÉçÇř carve out their place in the profession.
Un couple de Ŕ¦°óSMÉçÇř crĂ©e une bourse d’études dĂ©diĂ©e aux femmes ingĂ©nieures se distinguant par leur excellence
Zhu (Joe) Liu (MEng' 01) et Liying Jiang (MEng' 03) se sont rencontrĂ©s Ă Ŕ¦°óSMÉçÇř alors qu’ils Ă©tudiaient pour obtenir leur maĂ®trise en gĂ©nie civil. Ă€ prĂ©sent, ils rendent honneur Ă leur alma mater en aidant les jeunes femmes souhaitant devenir ingĂ©nieures.
Liu, qui est spécialisé en béton précontraint et préfabriqué, travaille en tant que chef de projet principal chez Jacobs Engineering Group. Jiang a pour spécialité la réparation des bâtiments existants, l’étude de l’historique d’un bâtiment et sa remise en état lorsque la structure d’origine s’est détériorée. Elle est actuellement directrice de l’ingénierie chez Structural Technologies.
« Nous plaisantons avec nos amis qu’il faut me contacter pour concevoir un bâtiment », dit Liu, « et contacter Liying si un problème survient ».
Établis Ă Boston, les deux Ă©poux gardent de prĂ©cieux souvenirs de MontrĂ©al et de leur expĂ©rience Ă Ŕ¦°óSMÉçÇř. Ils ont voulu contribuer Ă la tradition d’excellence de la facultĂ© d’ingĂ©nierie, tout en permettant Ă plus de femmes d’accĂ©der Ă ce domaine.
Ensemble, ils ont crĂ©Ă© la bourse Zhu Liu et Liying Jiang Third Century Entrance Bursary pour les jeunes femmes qui Ă©tudient en ingĂ©nierie Ă Ŕ¦°óSMÉçÇř.
Liu a fait ses Ă©tudes de premier cycle Ă Chengdu, en Chine, Ă plus de 1848 km de son lieu d’enfance, situĂ© au nord de la Chine. Venir Ă©tudier Ă Ŕ¦°óSMÉçÇř ne constituait pas sa première expĂ©rience loin de chez lui. « J’ai travaillĂ© comme assistant de recherche durant mes Ă©tudes Ă Ŕ¦°óSMÉçÇř, mais ce n’était pas très payant; d’autant plus qu’il fallait subvenir Ă mes besoins sans connaĂ®tre grand-chose, ni grand-monde. »
Si Liu a pu emprunter de l’argent à sa famille pour couvrir les frais de son premier trimestre, il souligne que ce n’est pas tout le monde qui peut compter sur l’aide de sa famille. « Nous voulions faire tomber cette barrière pour ceux qui désirent apprendre mais qui ne disposent pas du soutien financier nécessaire. »
Mme Jiang a pour sa part fait ses études de premier cycle à Shanghai, où elle a grandi. « Nous voulons par ailleurs encourager plus de femmes à choisir l’ingénierie comme profession », explique-t-elle. « C’est un domaine traditionnellement dominé par les hommes, mais qui est très bien rémunéré. Il devrait y avoir plus de femmes ingénieures — et plus de femmes cadres
aussi. »
Liu est heureux d’avoir pu rencontrer des Ă©tudiants d’horizons divers, et que Ŕ¦°óSMÉçÇř continue Ă attirer des Ă©tudiants de partout dans le monde. « La diversitĂ© qui règne dans la ville et Ă l’universitĂ© m’a mis Ă l’aise dès le dĂ©part, et tout au long de mes Ă©tudes », dit-il. La reconnaissance des talents d’origines variĂ©es a calmĂ© les craintes qu’il entretenait quant Ă son avenir en tant que nouvel arrivant.
Liu reconnait aussi le standard Ă©levĂ© de Ŕ¦°óSMÉçÇř, et demeure convaincu que le nom de Ŕ¦°óSMÉçÇř et la rĂ©putation de l’universitĂ© revĂŞtent un poids considĂ©rable. « Liying a Ă©tĂ© recrutĂ©e aussitĂ´t qu’elle a obtenu son diplĂ´me », raconte-t-il. « Je m’en souviens très bien. Elle a Ă©tĂ© embauchĂ©e dès sa première entrevue. » Liu a lui aussi Ă©tĂ© engagĂ© l’annĂ©e de sa sortie de l’universitĂ©.
Ce n’est pas la première fois que Liu se mobilise pour rendre service. Après sa première annĂ©e Ă Ŕ¦°óSMÉçÇř, il a Ă©tĂ© bĂ©nĂ©vole au bureau des services aux Ă©tudiants. Il aidait les Ă©tudiants internationaux Ă trouver un logement et leur faisant visiter le campus et la ville afin qu’ils puissent s’orienter. C’était sa façon de rendre au suivant, puisqu’un autre « international
buddy » l’avait aussi soutenu à son arrivée.
« Croyez-moi, le bénévolat n’aidait pas que les nouveaux étudiants. Ça m’a aussi permis de mieux connaître la ville. Montréal est l’une de mes villes préférées, au même titre que Boston et San Francisco. »
De nos jours, Liu est un fervent cycliste. « MontrĂ©al et Boston sont deux villes oĂą il fait bon rouler », affirme-t-il. Il roule avec un groupe de cyclistes vivant près de chez eux, en banlieue de Lexington. Jiang, elle, pratique la course Ă pied. Tous les deux sont très heureux de leur vie et de leur carrière Ă Boston. Ils tiennent maintenant Ă faire en sorte qu’une prochaine gĂ©nĂ©ration de femmes ingĂ©nieures Ă Ŕ¦°óSMÉçÇř puisse se tailler une place dans la profession.