Au cours de ce segment, Prof. Beaulieu souligne l'importance de la réduction et de la gestion des eaux usées. Selon elle, "pour la production de crabe et de homard, c'est environ 800 000 litres [d'eaux usées] qui sont générés par jour, pour environ 20 000 kilogrammes de produit cuit. C'est beaucoup, compte tenu du nombre de jours de la saison".
La capsule met également en vedette Les ±Ê곦³ó±ð°ù¾±±ð²õ Marinard, une entreprise gaspésienne bien connue pour ses crevettes nordiques cuites et congelées, et son directeur de la qualité, Serge Lacasse. L'entreprise a déjà démontré son engagement envers les pratiques durables et valorise les carapaces de crevettes obtenues comme coproduit en les séchant et en les broyant pour créer une poudre aux nombreuses applications. Elle prévoit d'améliorer encore son impact sur l'environnement en revalorisant les eaux laissées derrière après la cuisson à la vapeur des crevettes.
En créant des ingrédients aromatiques à partir de sources habituellement rejetées, l'équipe inter-institutionnelle démontre une approche durable à la transformation du crabe, du homard, des crevettes et des algues en produits alimentaires.
La collaboration entre les chercheurs et les chefs de file de l'industrie met en évidence le potentiel d'impact positif sur l'environnement grâce à l'innovation et au partenariat. Le Consortium de recherche et d'innovation sur la transformation alimentaire et ses Réseaux précompétitifs sont financés par le ministère de l'Agriculture, des ±Ê곦³ó±ð°ù¾±±ð²õ et de l'Alimentation du Québec et sont soutenus par l'Université À¦°óSMÉçÇø.
sur le site web de Radio-Canada.