Depuis la dernière mise à jour le 9 janvier, 7 réunions d’une journée complète en personne et 11 réunions d’une demi-journée en ligne ont eu lieu entre les représentants syndicaux de l’UES pour les groupes des métiers et centrale thermique des campus Macdonald et du Centre-ville et les représentants de l’Université.
Le jeudi 30 avril 2020, AGSEM a déposé la requête ci-jointe pour la certification des travailleurs de soutien académique employés par SM. La requête vise les employés dans la listeégalementci-jointe.
Chers collègues,
Alors que le déploiement du programme pilote detravail flexible et le développement d'une culture de travail plus souple se poursuivent, j'ai le plaisir de vous faire part de deux développements, dont l'un donnera, à tous les employés éligibles, une flexibilité supplémentaire et l'autre qui, pour les employés de MUNACA, simplifiera la procédure de demande.
À la suite de la campagne de MUNACAqui a résulté en la création d'une nouvelle unité de négociation MUNACA, le Syndicat a déposé une réclamation auprès du Tribunal administratif du travail (TAT) demandant que la convention collective MUNACA expirée, qui s'était appliquée à l'unité de négociation précédente, s'applique aux employés faisant désormais partie de la nouvelle unité de négociation depuis le 2 août 2019, date de la décision du TAT.
Depuis la dernière mise à jour, le 29 octobre, six réunions ont eu lieu entre les représentants du syndicat UES et de l'Université pour les groupes des métiers et des centrales thermiques du campus du centre-ville et du campus Macdonald. Les parties ont poursuivi leurs discussions sur les uniformes de travail, les chaussures de sécurité et les babillards du syndicat; elles sont parvenues à des accords sur ces questions le 30 octobre.
Le point sur les négociations: Négociations avec SCCIM (chargé(e)s de cours et instructeurs(trices))
Après les premières discussions en septembre, il a été ensuite convenu que la meilleure façon de progresser vers la conclusion d'une entente était de travailler sur des propositions globales qui comprendraient tous les éléments actuellement en discussion, plutôt que de discuter un à un les points en suspens.
Depuis notre dernière mise à jour en juillet, les parties se sont rencontrées huit fois. Les réunions ont donné aux parties l'occasion d'exprimer leurs positions et leurs points de vue respectifs sur le contenu de la disposition sur le harcèlement et la discrimination. Le 10 octobre, le syndicat a demandé l'aide d'un conciliateur auprès du ministère du Travail. Avec l'aide du conciliateur, trois réunions ont eu lieu sur le thème du harcèlement et de la discrimination, plus précisément sur l'application de la politique de l’Université contre la violence sexuelle.
Soucieux de parvenir à un meilleur équilibre travail-vie personnelle, les employés demandent de plus en plus à leur employeur d’assouplir les modalités de travail. L’Université SM n’échappe pas à cette tendance. En effet, il s’agit de l’une des principales pistes à explorer évoquées par les groupes d’apprentissage d’Un milieu de travail sain, lancés en mai 2019.
Le 12 septembre dernier, l’Université a rencontré les représentants syndicaux des trois groupes suivants : Métiers centre-ville, Centrale Thermique centre-ville, et Métiers et Centrale Thermique du Campus Macdonald. Ces unités font partie de la section locale 800 de l’Union des employés et employées de service. Leurs conventions collectives sont échues depuis le 31 mai 2019. M.
Depuis notre dernière mise à jour en février, les parties se sont rencontrées onze fois et la prochaine réunion est prévue pour le 10 juillet 2019. Les discussions relatives aux dispositions non monétaires sont presque terminées. Les points non résolus ont été laissés en suspens sous réserve de consultations plus approfondies avec les mandants respectifs des parties. Les parties ont conclu des ententes dans les domaines suivants : charge de travail et horaire de travail, affichages/demandes d’emploi et sélection et nomination.
Le point sur les négociations: Négociations avec SCCIM (chargé(e)s de cours et instructeurs(trices))
Depuis la nomination d'un conciliateur du Ministère du Travail en janvier 2019, les parties se sont rencontrées onze fois. Les réunions ont permis aux comités de négociation de MCLIU et de SM de réitérer et de clarifier leurs propositions en ce qui concerne les modifications à la convention collective actuelle.
Depuis notre dernière mise à jour, les parties se sont rencontrées neuf fois au cours du semestre d’automne et quatre fois depuis le début de 2019. Chaque séance a été d’une demi-journée. Les discussions sur plusieurs sujets ont progressé et les parties ont pu parvenir à des accords sur de nombreux articles à savoir les définitions, grief et arbitrage, droits et privilèges syndicaux, mesures disciplinaires et dossier des employés.
Depuis la dernière mise à jour, les parties se sont rencontrées le 5 décembre, les 15, 18 et 22 janvier pour des sessions d’une demi-journée de négociation. Lors de ces réunions, les parties ont continué leurs discussions et ont échangé des propositions relatives à la clause d’attribution des charges de travail. Cette clause a été l’objet de nombreuses discussions entre les parties au cours des derniers mois et jusqu’à maintenant les parties n’ont pas réussi à parvenir à un accord.
Le 12 juin 2018, l’Assemblée nationale a adopté la Loi modifiant la Loi sur les normes du travail et d’autres dispositions législatives afin principalement de faciliter la conciliation famille-travail.
La Loi sur les normes du travail a récemment fait l’objet d’une importante révision. Des modifications y ont été apportées pour atteindre les objectifs suivants :
Depuis la dernière mise à jour, les parties se sont réunies neuf fois pour des sessions de négociation d’une demi-journée. Ces réunions ont été l’occasion pour les parties d’engager l’échange de propositions pour résoudre les problèmes liés à l’application de la clause de réserve. Cette disposition a fait l’objet de nombreux griefs pendant la première convention collective et est une importante source de désaccord entre les parties.