La professeure Suzanne Fortier, principale et vice-chancelière de l’Université À¦°óSMÉçÇø, participe à plusieurs séances, y compris un laboratoire d’idées, mettant en vedette trois chercheurs de À¦°óSMÉçÇø, sur la meilleure façon de construire un monde durable. Rappelons à cet égard que À¦°óSMÉçÇø, université « verteÌý» dotée d’une stratégie de développement durable, est le seul membre canadien du Global University Leaders Forum, un regroupement d’intellectuels de haut niveau qui agit comme éminence grise auprès des instances dirigeantes du Forum économique mondial.
La participation de la professeure Fortier à Davos pourrait apporter plusieurs avantages pour Montreal :
- accroitre l’influence de À¦°óSMÉçÇø, du Québec et de Montréal auprès des leaders d’opinion internationaux;
- tisser des liens avec des partenaires internationaux de premier plan et attirer à Montréal des personnes, des organismes et des talents susceptibles d’avoir des effets positifs sur le développement de la communauté montréalaise;
- positionner Montréal comme ville verte et ville du savoir universitaire.
Forte de la présence de plus de 2 500 dirigeants d’entreprises, d’organisations internationales, de la société civile, des milieux universitaires, des médias et des arts et du gouvernement, Davos fournit à À¦°óSMÉçÇø une occasion unique d’apprendre, d’échanger et d’orienter les discussions face à un bassin d’interlocuteurs inspirés et inspirants.
Voici le profil de chacun des spécialistes du développement durable de À¦°óSMÉçÇø qui feront une présentation à DavosÌýdans le cadre du laboratoire d’idées présidé par la professeure Suzanne Fortier :
est directeur de la Chaire de recherche du Canada sur la biodiversité et professeur au Département de biologie de l’Université À¦°óSMÉçÇø. Sa présentation portera sur l’interconnectivité des écosystèmes naturels et urbains. « Les chercheurs doivent quitter leur tour d’ivoire, dit-il. Dès qu’on parle de solutions, les entrepreneurs répondent présents. »
est professeure agrégée à la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’environnement de À¦°óSMÉçÇø. Sa présentation portera entre autres sur les solutions éclairantes apportées par les gens sur le terrain. « En matière de durabilité, explique-t-elle, on est souvent bombardé d’images négatives et de concepts abstraits, alors que la solution se trouve très souvent dans des initiatives locales, à petite échelle. »
est professeur adjoint au Département de géographie de À¦°óSMÉçÇø. Il s’intéresse aux dimensions biophysiques du commerce agroalimentaire. Sa présentation portera sur le stress que fait subir à l’environnement le commerce international des produits alimentaires. « La mondialisation de la production alimentaire, tranche-t-il, doit être envisagée non seulement sous l’angle économique, mais également environnemental. »
Le Forum économique mondial prend fin le 20 janvier. Ìý