Au Centre d’orientation sexuelle de l’Université SM, le Dr Richard Montoro constate, lui aussi, que la proportion hommes-femmes de sa clientèle a beaucoup changé dans les dernières années. « Avant, c’était deux gars pour une fille. Maintenant, c’est l’inverse », dit-il.
Un autre tout nouveau phénomène encore peu documenté, bien que présent sur les réseaux sociaux, est celui des « désisteurs » et des « détransitionneurs » qui s’ajoute à ce tableau complexe.